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jeudi 2 mai 2024

Dead End Drive-In (Le drive-in de l'enfer) de Brian Trenchard-Smith (1986) - ★★★★★★☆☆☆☆

 


 

1979, une légende du cinéma de science-fiction post-apocalyptique voir le jour. Le policier Max Rockatansky interprété par l'acteur Mel Gibson. À l'issue d'un premier long-métrage particulièrement violent, le héros perdra femme et enfant. Deux ans plus tard, le réalisateur George Miller enfoncera le clou en mettant en scène Mad Max 2 : Le Défi. Une suite encore plus barbare où l'Homme avec un grand H sera définitivement rendu à l'état de sauvagerie. Film culte d'une violence inouïe, on n'a jamais réussi à faire mieux dans le genre malgré d'innombrables plagiats dont un certain nombre de mockbusters originaires d'Italie... Réalisé en 1986 par l'australo-américain Brian Trenchard-Smith, Dead End Drive-In ou Le drive-in de l'enfer partage avec la franchise de George Miller qui depuis son second volet s'est enrichi de deux autres longs-métrages, ses origines australiennes. Dans un cas comme dans l'autre, il s'agit de science-fiction dystopique et post-apocalyptique. La plupart des figurants du récit sont également dotés d'attributs qui leur offre l'apparence de punks dégénérés. Sorte de mix entre les antagonistes de Mad Max 2 et de ceux de Class of Nuke 'Em High de Richard W. Haynes, Lloyd Kaufman et Michael Herz qui sortira justement la même année mais cette fois-ci sur le territoire américain. Étrangement, Dead End Drive-In bénéficie d'une aura toute particulière qui s'explique au fond assez difficilement. Car comment considérer à un tel niveau d'éloges une œuvre dont le scénario se résume à très peu de choses, où la mise en scène laisse libre cours à une succession de séquences relativement mal branlées et où le héros ne possède pas le moindre charisme ? Car c'est bien là l'un des principaux défauts du long-métrage de Brian Trenchard-Smith. Bien que Jimmy 'Crabs' Rossini parvienne à se défendre devant l'adversité, l'acteur Ned Manning qui l'interprète s'avère assez peu convainquant dans le rôle de cet homme coincé dans un ancien Drive-in transformé en une sorte de camp de redressement d'où s'échapper semble impossible. Le site est en effet entouré d'un mur de béton apparemment infranchissable qui fait pourtant peine à voir si on le compare à l'enceinte du New York 1997 que réalisa John Carpenter cinq ans auparavant.


Dead End Drive-In passe de l'univers nocturne du classique de l'auteur de Halloween à un monde visuellement plus ouvert et lumineux bien que concentré en une surface plutôt réduite. L'on aurait aimé que Dead End Drive-In soit dominé par la beauté de l'actrice Natalie McCurry qui interprète le rôle de Carmen, fiancée du héros mais à laquelle le réalisateur et son scénariste Peter Smalley attachent finalement peu d'importance. Dans un monde assez plat, sans reliefs visuels ou d'un ordre strictement lié à la caractérisation des différents personnages, Crabs tente par tous les moyens de sortir de ce camp de concentration pour jeunes délinquants dirigé par un certain Thompson (Peter Whitford). Après une première partie scénaristiquement bordélique, le récit s'installe au sein de ce ''cirque'' dans lequel le spectateur était en droit de s'attendre à des dangers d'une plus grande ampleur. Car en dehors de l'affrontement entre Crabs et l'un des membres d'un groupe de jeunes, la seule conséquences de ses actes mettant en jeu sa propre existence se situera lors de l'acte final. La faiblesse du concept crève l'écran. Ici, le héros ne rallie pas ses compagnons d'infortune à sa cause. Ceux-ci auraient même tendance à vouloir rester vivre dans cet ancien drive-in. L'on notera en outre l'étonnante attitude de sa fiancée Carmen qui après avoir succinctement côtoyé quelques représentantes féminines du camp semble déjà avoir envie elle-même d'y rester ! Après, Dead End Drive-In demeure tout de même très représentatif d'une époque, celle des années quatre-vingt, avec sa bande musicale tonitruante ou ses voyous aux atours et aux maquillages bariolés. Sur un fond ouvertement politisé, le film de Brian Trenchard-Smith souffre malheureusement de trop grandes lacunes. Le personnage principal est inintéressant au possible. Tout comme l'intégralité des prota-antagonistes qui végètent littéralement autour de lui. À titre de comparaison, justement, on préférera redécouvrir les étudiants décérébrés de l'un des classiques de la Troma, Class of Nuke 'Em High, lequel assumait une totale liberté de ton quitte à passer pour une bande totalement dégénérée. Dead End Drive-In demeurera sans doute comme une curiosité, exemple pas si commun de science-fiction post-apocalyptique originaire d'Australie, mais auquel j'eus personnellement bien du mal à adhérer...

 

samedi 18 novembre 2023

Quanta de Nathan Dalton (2019) - ★★★★☆☆☆☆☆☆

 

 


 

Le doublage, ça n'est pas qu'un simple métier. Pas non plus qu'une alternative à la profession d'acteur. Non, le doublage, c'est tout d'abord un art et une faculté certaine pour retranscrire diverses émotions avec comme seule contrainte de devoir le faire avec la voix et uniquement à travers ses intonations. La télévision russe étant fauchée comme les blés, qui n'a jamais vécu l'atroce expérience d'une œuvre étrangère doublée dans la langue de Tolstoï, de Soljenitsyne ou de Nabokov ? Qui a échappé jusqu'à maintenant à cette épouvantable technique du Voice Over consistant pour les dialogues d'un long-métrage à être recouverts par celui ou ceux du ou des doubleurs ? On hésite alors à dresser la liste des inconvénients relatifs à l'usage d'un tel procédé. Est-le fait d'entendre des doubleurs russes chevaucher des voix françaises, anglaises, espagnoles ou japonaises ? Est-ce le ton monocorde avec lequel ces mêmes doubleurs empêchent la moindre émotion de poindre de tel ou tel dialogue ? Ou, pire, est-ce parce que les personnages féminins sont eux-mêmes doublés par des hommes ? Je n'affirmerai pas que cela est depuis devenu une constante mais ayant été moi-même témoin d'une telle pratique, je peux vous dire que l'expérience est proprement insoutenable. Le doublage est donc tout un art. Et lorsque certains tentent de s'y employer sans avoir ne serait-ce qu'une once de talent, le résultat peut être désastreux. C'est malheureusement ce qui semble être arrivé à Quanta de Nathan Dalton. Destin peu enviable qui sur le territoire français semble avoir finit de sceller le sort d'un film de science-fiction ambitieux sur le papier tout en n'étant que très faiblement convainquant à l'écran. Que le sujet portant sur la matière noire fascine ou non ou qu'un signal venu d'une lointaine galaxie puisse éveiller la curiosité des ufologues, la qualité du traitement est impérative. Réalisme et sérieux se doivent d'être au cœur de ces passionnants sujets scientifiques. Sinon, on peut remballer ses affaires et s'adonner à d'autres passions que la réalisation de longs-métrages. En ce sens, Quanta semble ne pas devoir tout à fait remplir son contrat. La faute, sans doute, à un budget insuffisant mais aussi et surtout à des interprètes pas toujours très convaincants et à un scénario qui ne tient absolument pas ses promesses.


Le réalisateur résoudra d'ailleurs son intrigue matinée de thriller en contraignant l'un de ses protagonistes prénommé George (Mark Redpath) à détruire son matériel de recherches ainsi que les résultats obtenus histoire de mettre un terme au récit de la manière la plus radicale mais également la plus simpliste qui soit. Mais le sujet de cet article n’étant pas là, je voudrais revenir sur le doublage en français à proprement parler. Il est clair et indubitable qu'en n'ayant pas bénéficié d'acteurs d'expérience dans ce domaine, Quanta demeure à ce jour l'un des plus gros ratages dans le domaine du doublage. En effet, le travail effectué par ce que l'on aura le réflexe (poli) de nommer sous le nom d'amateurs est d'une telle indigence que c'est l'intérêt tout entier de l'intrigue qui en est faussé. Ce que le spectateur envisage comme une œuvre de science-fiction ne pourra dans un premier temps pas l'empêcher de rire. Ce n'est pas tant les interprètes que l'on moque alors mais les doubleurs que l'on imagine assis devant les images du film, à reproduire les dialogues en langue française. À défaut de nous passionner pour cette histoire de conflits d'intérêt égocentriques et scientifiques, ma compagne et moi nous sommes amusés à imaginer à combien se chiffrait le nombre de doubleurs. Nous n'en comptâmes pas plus de trois. Le plus triste (ou le plus drôle finalement) furent ces quelques personnages féminins tous doublés par une seule et même personne et de surcroît, à l'accent fort prononcé. Que les interprètes portent des signes physiques aux origines occidentales ou extrêmes-orientales, les doubleurs semblent n'en avoir rien eu à faire. Tout le monde boit dans le même verre en dépit de tout bon sens. L'effort de doubler officiellement ou non une œuvre cinématographique est en soit un acte appréciable et que l'on réservera au confort de celles et ceux qui ne supportent pas la lecture de sous-titres. Mais malheureusement, dans le cas de Quanta, la qualité plus que déplorable des doublages qu'elle rend parfaitement rédhibitoire toute raison de le visionner dans notre langue. Ne reste plus alors que de tenter de le dénicher dans sa langue d'origine...

 

mercredi 15 juin 2022

Chronical : 2067 de Seth Lamey (2022) - ★★★★★☆☆☆☆☆

 


L'Australie fut l'un des fleurons (plutôt avare) de la science-fiction dans les années soixante-dix/quatre-vingt. D'emblée l'on pense évidemment aux deux premiers volets de la franchise post-apocalyptique Mad Max réalisés par George Miller. Beaucoup plus tard l'on eu même droit à l'un des plus incroyables longs-métrages tournant autour des boucles et paradoxes temporels, Prédestination de Michael et Peter Spierig. Nous pourrions élargir le spectre en ajoutant à cette très courte liste différents thèmes fantastiques (genre avec lequel la science-fiction se confond parfois) que revêtent les classiques de Peter Weir que sont La dernière vague et Les voitures qui ont mangé Paris, Harlequin de Simon Wincer ou Patrick de Richard Franklin mais ce serait s''éloigner un peu trop du sujet qui nous intéresse ici. Chronical : 2067 de Seth Lamey est le second long-métrage du réalisateur australien. Sa thématique risque tout d'abord de faire bondir les amateurs de science-fiction de leur siège. Imaginez donc qu'à la surface de notre planète l'air soit devenu irrespirable et que soit prise la décision d'envoyer dans le futur un homme capable de s'y renseigner afin de trouver une solution pour sauver l'humanité. Je sais ce que vous vous dites. Que le réalisateur et scénariste australien ne s'est apparemment pas trop emmerdé avec ce qui aurait dû lui servir de créativité puisque d'origine, le synopsis semble emprunter son ''originalité'' au formidable scénario que David Webb Peoples et Janet Peoples développèrent au milieu des années quatre-vingt dix pour le chef-d’œuvre de Terry Gilliam, L'armée des douze singes. Un script lui-même inspiré par le court-métrage français de Chris Marker La Jetée qui, soit dit en passant, est au mieux un roman-photo sonorisé, au pire une soirée diapositives terriblement ennuyeuse. En tous les cas, une œuvre beaucoup trop surestimée, n'en déplaise à son grand nombre de fans qui le portent aux nues de la science-fiction...


Ambitieux et parfois très joli même si certains décors (ceux de cités détruites) arborent une désespérante artificialité, Chronical : 2067 mêle voyage dans le temps, post-apocalyptique et donc, science-fiction. Drame également, avec le récit de ce jeune homme qui décidément n'a pas de chance dans la vie. Imaginez donc : un père scientifique qui se suicide alors que son fils n'est encore qu'un enfant. Une mère qui perd la vie durant un guet-apens alors que son rejeton n'a pas encore atteint l'âge de l'adolescence. Une petite amie qui beaucoup plus tard, sera atteinte d'une très grave maladie. Et puis, un sort qui s'acharne sur le jeune homme qu'est devenu Ethan Whyte : seul espoir de l'humanité, guidé par des scientifiques et par un intriguant message venu du futur s'affichant sur un panneau lumineux digne de ceux qui l'on trouve dans les Trains Express Régionaux français (oh, ça va, je rigole.......... en fait, non, je suis vraiment sérieux), lequel enjoint Ethan a faire le voyage vers le futur en se positionnant dans une étrange machine en forme de réacteur d'avion de ligne ! Tout seul... Comme un grand... Le poignet engoncé dans un drôle de boîtier électronique impossible à ôter que son père lui a ''offert'' il y a donc très longtemps avant de disparaître. Si quatre-cent ans plus tard l'air est redevenu respirable, certaines petites baies dont nos parents nous ont toujours dit de nous méfier demeurent quant à elle toujours aussi toxiques. Empoisonné et délirant, proche de la mort, Ethan voit surgir du passé (et donc de son présent) son ami Jude Mathers avec lequel il va entreprendre de trouver le remède au mal qui décime l'humanité en 2067...


Drôle de choix que d'avoir choisi l'acteur Kodi Smit-McPhee afin d'incarner Ethan Whyte. Celui-ci dégage effectivement très peu de charisme contrairement à son compagnon de route, l'acteur Ryan Kwanten. Mais bon, tout étant question de goût, on ne va pas s'éterniser sur le sujet. Comme nombre de films de science-fiction modernes,Seth Lamey attache beaucoup d'importance à la psychologie de son principal personnage. En découlent des séquences lors desquelles l'émotion tente une percée sans malheureusement y parvenir. Bien au contraire puisque c'est l'ennui qui s'impose à intervalles réguliers. Déjà que le film, sans être d'une mollesse à toutes épreuves, n'est pas très bien rythmé et qu'il perd les spectateurs dans un brouillard scénaristique aussi artificiel que la plupart des décors, l'ambitieux récit tombe malheureusement régulièrement à plat. Moralisateur et démagogue, on se doute bien qu'à un moment donné l'histoire va tordre le cou au concept de base pour nous trimballer dans un récit où la morale le disputera à la corruption et au nauséabond. La portée ''fantastique'' du récit est balayée par un ouragan faussement émotionnel qui veut que l'intérêt du sujet se porte moins sur l'espoir d'une humanité à l'agonie reposant sur un seul homme que sur les rapports qu'il entretient avec l'image de son père disparu et avec lequel il ''communiquera'' à travers des hologrammes. Pompeux, vain et ennuyeux, Chronical : 2067 arbore parfois de jolis décors qui promettaient à l'origine de superbes séquences d'exploration mais là encore, c'est la désillusion. Entre incohérences, propagande et confusion, le film du réalisateur australien est une assez mauvaise surprise dont la seule qualité sera de nous donner envie de redécouvrir le chef-d’œuvre de Terry Gilliam. Ce qui d'une certaine manière, n'est déjà pas si mal...

dimanche 24 mai 2020

The Dustwalker de Sandra Sciberras (2020) - ★★★★★☆☆☆☆☆



Au beau milieu du désert australien, ce qui s'apparente à une comète vient s'écraser aux abords d'une petite localité. Seule témoin de l'événement, Michelle a également vu passer dans le ciel un OVNI. Incapable de dire précisément de quoi il s'agit, l'adolescente préfère garder ça pour elle. Dès le lendemain, de curieux événements commencent à se manifester en ville. Les uns après les autres, les habitants semblent atteints d'un mal étrange. Anthony est l'un d'entre eux. Depuis qu'il a trouvé la carcasse de son chien horriblement mutilé, son comportement a changé. Il déambule dans les rues sans avoir apparemment de but précis. Les choses deviennent bien plus graves lorsque cette fois-ci, c'est le corps d'une enfant qui est découvert atrocement mutilé dans les toilettes de l'école. Alors qu'une puissante tempête de sable approche, la shérif Joanne Sharp tente de démêler le nœud de l'affaire. Mais autour d'elle et de ceux qui n'ont pas encore été atteints par l'étrange virus, c'est l'hécatombe. Victimes d'attaques de la part de leurs amis et voisins, les rares survivants qui osent mettre les pieds dehors sont systématiquement pris pour cibles...

The Dustwalker de Sandra Sciberras est typiquement le genre de long-métrage qui s'avère au départ réellement passionnant mais qui au fil de l'intrigue perd peu à peu de son intérêt, allant même jusqu'à tomber dans le ridicule. L'un des réels défaut majeurs de ce long-métrage qui nous vient d'Australie, ça n'est certainement pas ses décors, vides mais superbes. Des ocres magnifiques emportés par la poussière et l'une de ces petites localités perdues au milieu de nulle part. Non, le défaut qui empêche The Dustwalker d'emporter totalement l'adhésion, c'est son absence de structure solide en matière d'écriture. Le scénario est en réalité si léger que la réalisatrice semble souvent ne pas savoir comment gérer ses personnages. Et par là même, ses interprètes qui courent un peu dans tous les sens et surtout, sans but réel. Ce qui s'avère franchement incompréhensible si l'on tient compte du fait que le film semble reposer sur des références très solides en matière de science-fiction et d'horreur. Car en effet, devant l’œuvre de Sandra Sciberras, comment ne pas évoquer L'Invasion des Profanateurs de Sépultures de Don Siegel et de toutes les séquelles qui en ont découlé par la suite ? Comment ne pas penser parfois à The Thing de John Carpenter. Et pourquoi ne pas oser même évoquer Splinter que réalisa Toby Wilkins en 2008 et les piques qui sortent de ses cadavres... ?

Le spectateur aura beaucoup de mal à croire que le scénario écrit par Sandra Sciberras elle-même n'est que le fruit de son imagination. Si pendant presque une heure, The Dustwalker s'avère franchement intriguant, avec ses habitants qui semblent perdre la raison et ce cratère aperçu dans le désert qui font à leur tour penser au petit classique de la science-fiction américaine des années 50 It Came from Outer Space de Jack Arnold. Avec cette ville pratiquement vidée de ses habitants, et surtout ce mystère qui plane autour de cette histoire qui ne répondra à aucune de nos question. Le dernier tiers finit malheureusement d'anéantir nos espoirs et notre patience. Parce que les choses n'avancent jamais. Que tout continue à n'être qu'une succession de scènes qui se répètent invariablement. Du moins jusqu'à ce qu'une immense créature pas trop mal faite ne vienne tout bousculer sans que l'on sache quel rapport elle entretient avec la comète, le vaisseau aperçu au début du film seulement ou l'étrange mal qui atteint les habitants. Amicale ? Malveillante ? Allez savoir... Si Jolene Anderson, Stef Dawson, Talina Naviede, Harry Greenwood, Ryan Allen et les autres s'en sortent comme ils peuvent, Sandra Sciberras éprouve quant à elle beaucoup de difficultés à boucler son film. C'est d'autant plus dommage car, comme je le répète, la première heure nous tient en haleine. Malheureusement, comparé aux longs-métrages ayant apparemment servi de sources d'inspiration, The Dustwalker fait pâle figure. Une œuvre... inutile...

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